Camille Garcia
Fondatrice et Dirigeante de l’agence La Semaine des 4 Jeudis
Petite, Camille découpait les pages de pub des magazines et zappait quand le feuilleton recommençait, étudiante elle rêvait d’intégrer une grande agence de pub à Paris.
Après de premières armes en agence de publicité, elle a finalement intégré le fabuleux univers de la radio et des médias sur la partie événementielle. D’abord pour les radios du groupe NRJ, puis dans l’immense univers Lagardère où elle a été en charge des événements clients et marques. Toujours plus gros, toujours plus grand.
Pourtant, à l’aube de ses 33 ans, elle ressent l’envie de poursuivre son chemin événementiel à sa façon, avec sa vision et son intuition : l’aventure La Semaine des 4 Jeudis est née un jeudi de juin 2014 et l’aventure entrepreneuriale avec.
10 ans plus tard, le grand vertige : une équipe autour d’elle, des clients “avec qui nous nous sommes choisis”, bien plus de hauts que de bas et de belles rencontres … sans compter celles à venir !
Quelle est la mission de votre entreprise ?
Créer des expériences et des moments authentiques au-delà de l’aspect organisationnel de l’événement. Accompagner nos clients à la fois sur le fond et la forme dans leur projets événementiels B to B dans une ère ou l’enjeu est plus que jamais de générer de l’engagement collaborateurs.
Quel est votre plus gros défi actuel ?
Garder un œil avisé sur tout, conserver la relation humaine dans un contexte où délais, gestion des urgences, profils compétents se réduisent alors que la demande et les exigences s’accélèrent.
Selon vous, quelles sont les qualités indispensables du leader de demain ?
Pour moi un leader ne doit pas avoir peur de faire grandir ses équipes pour qu’elles le dépassent un jour. La force d’un bon leader à mon sens réside dans sa capacité à inspirer perpétuellement. D’ailleurs on ne quitte pas une entreprise, on quitte un manager.
Que venez-vous chercher aux Sommets ?
Les Sommets c’est pour moi de la prise de hauteur, du partage d’expérience, de l’inspiration et un besoin de souffle pour mieux innover.